SE PROTÉGER DES INFECTIONS

Les produits de la ruche ont été utilisés pendant des siècles pour leurs propriétés thérapeutiques. Miel, propolis, gelée royale et pollen, sont tous des produits naturels riches en nutriments et en antioxydants. Ces produits peuvent largement aider à renforcer le système immunitaire et à prévenir les infections.

Découvrez tout de suite comment ces produits peuvent être de fabuleuses solutions selon votre pathologie :

Le rhume

Le nez qui coule, la toux et la gorge irritée, le mal de front… on connaît tous le suspect principal : le rhume. De son nom scientifique, rhinopharyngite ou nasopharyngite.

Défini comme une infection virale des voies respiratoires, le rhume est occasionné par plusieurs familles de virus, comme les adénovirus, les rhinovirus, et les… coronavirus.

Ça vous dit quelque chose ?

Ce que vous savez peut-être moins, c’est que ces infections quotidiennes peuvent être facilement traitées… grâce aux produits de la ruche ?

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L'angine

Une angine est une infection dite « aiguë » : les tissus ciblés sont sévèrement atteints, les douleurs sont plus intenses. Parfois, une hospitalisation est même nécessaire.

L’angine vise les mêmes zones que les virus du rhume : les voies respiratoires supérieures, et en premier lieu le pharynx, à savoir le « carrefour » de votre gorge, où un tuyau part vers le système digestif, et l’autre vers les poumons. 

L’angine cible ces zones car elle est, fondamentalement, un rhume : elle est le produit d’une infection virale qui n’a pas été traitée, et qui s’est empirée.

Le symptôme principal est le mal de gorge, d’une nature bien plus intense que dans le cas d’un rhume, accompagné d’une fièvre. Déglutir peut devenir plus difficile, à terme. C’est une situation d’urgence : il faut intervenir au plus vite !

La sinusite

Le lecteur attentif remarquera que sinusite, comme bronchite ou bronchiolite, sont des maladies possédant ce petit « -ite » final, qui les singularise d’autres maux.

Ce « -ite » a un sens étymologique précis : il signale que nous parlons ici d’une pathologie inflammatoire. Dans le cas de la sinusite, une inflammation des cavités et conduits nasaux.

Et si elle est « aiguë », vous l’aurez compris aussi, c’est que cette inflammation a considérablement progressé… et donc, que ça fait très mal !

On sent une douleur diffuse aux alentours du nez, des maux de tête, des écoulements nasaux, et des douleurs dites « positionnelles » : si vous vous penchez en avant, par exemple, vous aurez tendance à ressentir vos douleurs de façon plus intense.

L’origine de la sinusite aigüe peut se trouver, là encore, dans un rhume qui n’a pas été traité et qui a « mué » en crise inflammatoire. Elle peut aussi être déclenchée par des allergies.

La bronchite

La bronchite aigüe, c’est encore un mot en « -ite » : nous parlons donc toujours d’une inflammation. Dans ce cas-ci, une inflammation de la trachée et des voies respiratoires qui descendent de celle-ci jusqu’aux poumons : les bronches.

D’origine virale, elle est le plus souvent occasionnée par une infection initiale des voies respiratoires supérieurs : en clair, d’un rhume qui a dérapé, encore et toujours.

La bronchite est tout particulièrement pénible à vivre. Elle se manifeste par des toux à répétition, douloureuses, qui peuvent aller jusqu’à produire des expectorations, à savoir l’expulsion de « substances » semi-liquides, par le biais des quintes de toux.

 En dernière instance, les poumons étant touchés, vous développerez une difficulté grandissante à respirer, ce qui peut vous pousser à l’angoisse et à des inquiétudes importantes. N’hésitez jamais à consulter, si vous en arrivez là : c’est une affection potentiellement grave, il faut agir vite.

La convalescence

Les maladies inflammatoires et infectieuses sont, le plus souvent, bénignes. Ceci dit, elles sont aussi une épreuve souvent rude à affronter.

Elles restreignent ou compliquent la respiration, rendant votre oxygénation plus fluctuante et hasardeuse. Elles vous privent d’appétit, réduisant ainsi votre apport énergétique. Elles vous ôtent le sommeil, endolorissent les membres…

 Bref, elles fatiguent. Et cette fatigue persiste après la rémission complète de la maladie : le corps doit récupérer. C’est la fameuse période de « convalescence ».